Accueillir un enfant en situation de handicap, c’est être dans une démarche d’individualisation du groupe.

Depuis le début du partenariat, le Relais nous a apporté beaucoup de sérénité.

C’est toujours assez beau de voir un enfant modifier spontanément son comportement pour permettre l’inclusion de l’autre.

Le Relais nous apporte une certaine assurance, une certaine confiance.

La garantie d’offrir un accueil de qualité à tous les enfants.

Notre rôle c’est d’inventer pour que chaque enfant soit acteur de ce temps. Mais surtout pour amener du sens.

On a un vrai travail à poursuivre sur la conviction auprès des élus et des organisateurs.

Il faut que tous les enfants aient accès aux loisirs collectifs et il est important que les enfants en situation de handicap ne soient pas exclus de ces activités-là!

Je crois qu’on se prive de quelque chose si on n’a pas cette mixité dans les centres de loisirs. Les enfants porteurs de handicap doivent apporter leur différence.

C’est nécessaire d’impliquer tous les acteurs, pour être au plus proche des besoins de l’enfant et de sa famille.

Chaque enfant à le droit de jouer et c’est, de mon point de vue, la meilleure façon d’apprendre à être au monde.

Si ça pouvait permettre aux adultes futurs d’être plus ouverts à la différence, ce serait parfait.

Toujours une grande écoute de l’association sur les problématiques et les aspects particuliers de notre enfant.

De voir les gens s’adapter au handicap et non plus aux personnes en situation de handicap de s’adapter à la société.

Si on s’ouvre, le regard sur le handicap va changer obligatoirement.

Chaque enfant en situation de handicap est, comme tout individu, un enfant unique.